Body-positivisme

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Loin des standards de beauté : le body-positivisme ?

« Une société obsédée par la minceur des femmes n’est pas une société fascinée par la beauté, mais fascinée par l’obéissance ».

Comme le présentait Naomi Wolf dans The Beauty Myth, le corps féminin est régi, contrôlé, instrumentalisé et oppressé pour atteindre une forme de perfection[1]. Cela résulte d’une construction sociale.

Ainsi, sous la pression d’un sexisme, d’un racisme et d’un lookisme institutionnalisés, les standards de beauté sont personnifiés par les femmes occidentales blanches, jeunes, minces et extraordinairement belles.

Le contre-poids de cette vision univoque de ce que serait la beauté féminine réside aujourd’hui dans le mouvement d’acceptation de soi connu sous l’appellation « body-positivisme ».

Cet anglicisme reflète une volonté, à l’origine créée pour déboulonner les standards. 

Mais, derrière lui, ne se cacherait-il pas finalement un mouvement n’étant pas à la hauteur de ces objectifs ?

Le corps féminin sous contraintes : le diktat de la maigreur

La société dans sa globalité entretient le culte de la minceur : créateurs/créatrices de mode, agences de mannequins, réseaux sociaux, publicitaires, concours de beauté, magazines présentant les régimes comme une étape obligée avant l’été, indication du nombre de calories dans les livres de recettes, sites internet, parfois interpellations de l’entourage proche…

Fabrication de standard de beauté : la mode et les concours de miss

« Il y a toujours eu, de la part des couturiers, une tendance à effacer la femme. La mode est faite pour des mannequins verticaux ».

À son époque déjà, l’intellectuel René Barjavel accusait la mode de promouvoir une maigreur extrême. Aujourd’hui, son discours résonne encore dans l’industrie de la papesse Anna Wintour.

La haute-couture

Ainsi, sur les prestigieux défilés haute-couture, on réalise les prototypes artisanaux dans des tailles 34, ou au maximum, dans des tailles 36. Cela force, par la même occasion, les agences de mannequins à embaucher des « clones » pouvant rentrer dans les plus petites tailles de vêtements.

Toutefois, les mannequins nourrissent le système et en sont tout à la fois les victimes. En effet, bon nombre d’entre elles souffrent d’anorexie.

En avril 2013, une agence de mannequins suédoise a d’ailleurs recherché de nouvelles recrues aux abords d’un centre de soins pour les personnes souffrant de troubles alimentaires.

Le prêt-à-porter

Le prêt-à-porter n’est pas en reste en termes de promotion de la maigreur.

Dans son documentaire « Abercrombie & Fitch : une marque sur le fil », Netflix donne à voir la chute de l’empire de la marque dont la stratégie marketing se basait sur la discrimination.

Si bien que les boutiques ne proposaient pas de grande taille. En effet, « ça coûtait trop cher et ça nuisait à l’image de la marque », annonçait ouvertement Mike Jeffries, le PDG d’Abercrombie entre 1992 et 2014.

Les magazines de mode

De la même manière, les magazines de mode tel que Vogue et Haper’s Bazaar, productions à grande échelle, perpétuent des figures féminines stéréotypées.

Les concours de miss

Les concours de Miss s’ancrent davantage ancrés dans la culture populaire. Cependant, derrière leur apparente légèreté, ils posent de véritables questions concernant la condition des femmes.

En effet, ces concours se présentent comme de véritables fabriques. Le corps des jeunes femmes est modelé pour répondre aux critères. Et les progressives éliminations des candidates conduisent à la consécration de la lauréate qui a réussi à incarner l’idéal esthétique féminin.

Il faut voir dans ce diktat de la minceur l’influence d’une mode qui trouvait en Coco Chanel ses créateurs, et dans les stars et les femmes du « beau monde », ses égéries.

Wallis Simpson, duchesse de Windsor, avait même pour devise : « jamais trop riche, jamais trop mince ».

Si un compte bancaire bien rempli ne serait pas de refus, la deuxième partie de l’affirmation me semble plus hasardeuse.

Les réseaux sociaux : l’image néfaste d’un corps irréaliste

On montre couramment du doigt les réseaux sociaux. On les accuse d’attiser les troubles alimentaires provoqués par les perturbations de l’image du corps.

En effet, à cause de ces derniers, les jeunes filles et jeunes femmes se comparent à des photos irréalistes, prises avec un certain angle ou avec certaines retouches.

Or, cette surexposition à ces images conduit à une insatisfaction corporelle et physique de personnes ne correspondant pas à cet idéal de minceur.

La valorisation sociétale de la minceur, combinée aux nécessaires mises en garde contre les risques liés à l’obésité, entraîne la réalisation de régimes alimentaires pour perdre du poids. Pourtant, si les régimes ne sont pas l’unique cause de l’anorexie, celle-ci débute généralement par un régime, d’après Muriel Darmon, sociologue.

Un problème de santé publique à réguler

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, les troubles du comportement alimentaires touchent plus de 600 000 jeunes en France, dont 40 000 anorexiques.

Du côté de la Belgique, environ une personne sur dix à Bruxelles (10,1%) et en Wallonie (9,1%) a un trouble du comportement alimentaire de type anorexie-boulimie, pour 5,7% en Flandre. Pour enrayer les troubles alimentaires, les états réagissent au travers de leur législation.

Législation belge

D’un côté, la Belgique a proposé aux professionnel.le.s de la mode une première charte pour lutter contre l’anorexie en 2009.

En 2013, trois députés wallons ont souhaité aller plus loin. Dès lors, ils ont milité en faveur d’une législation contre l’anorexie. Le texte proposait notamment d’obliger les publicitaires à mettre en place une signalétique spécifique, mentionnant notamment la retouche d’une image de mode pour amincir le mannequin ou l’âge du modèle, et la création d’un numéro vert. Le Parlement wallon a adopté à l’unanimité ce texte en novembre 2013.

Les députés demandaient également au gouvernement fédéral d’agir. Mais aucune mesure n’a été prise à cette échelle.

Plus récemment, en juillet 2019, Vanessa Matz, députée à la Chambre des représentants, a déposé une proposition de loi. Celle-ci visait à lutter contre la maigreur excessive dans le mannequinat. Elle y posait deux contraintes : la mention obligatoire en cas de retouche et le certificat médical obligatoire. Pour le moment, cette proposition de loi reste sans réponse.

Législation française

D’un autre côté, en France, deux décrets sont entrés en vigueur en 2017 depuis leur publication au Journal Officiel. Ils visaient à lutter contre l’anorexie.

D’après le ministère de la Santé, ces dispositions « visent à agir sur l’image du corps dans la société pour éviter la promotion d’idéaux de beauté inaccessibles et prévenir l’anorexie chez les jeunes ». Il ajoute également qu’elles visent à « protéger la santé d’une catégorie de la population particulièrement touchée par ce risque : les mannequins ».

Contenu de la loi

Le premier amendement oblige la mention « photo retouchée » sur toutes les images où la silhouette du modèle a été modifiée.

La mention est obligatoire à partir du 1er octobre 2017. En cas d’infraction, la loi prévoit une amende de 37 5000 euros.

Cette obligation concerne les photographies « insérées dans des messages publicitaires » diffusés en ligne, dans la presse ou par affiche. En revanche, les séries de mode des magazines et les contenus des publications de presse ne seront pas soumis à cette réglementation.

Le second amendement vise à lutter contre l’extrême maigreur des mannequins. Pour ce faire, ils/elles devront fournir un certificat médical attestant qu’ils/elles ne sont pas « excessivement maigres ».

Toute personne qui engage un.e mannequin sans respecter cette obligation risque 75 000 euros d’amende et six mois de prison.

Concrètement, le médecin du travail devra délivrer ce certificat (valable maximum 2 ans).

Les praticien.ne.s devront examiner l’état de santé global des jeunes femmes/hommes. Ainsi, ils/elles devront prendre en compte leur indice de masse corporelle (IMC), surtout s’il se situe en dessous de 17 (maigreur modérée à sévère) « hors cas spécifiés et identifiés dans le dossier médical ».

Le « body-positivisme », une nouvelle vision du corps féminin

Qu’est-ce que le body-positivisme ?

La positivité corporelle est, injustement, considérée comme un phénomène contemporain.

En effet, ses racines proviennent du mouvement américain d’acceptation des graisses dès la fin des années 1960 et au début des années 1970. Mais il provient également du début d’Internet et de la « Fatosphere », une communauté en ligne d’acceptation des graisses.

Le terme « body-positive », lui-même, est réputé issu de The Body Positive, une campagne d’amour de soi fondée en 1996 en Californie par Connie Sobczak et Elizabeth Scott.

Certes, l’expression remonte à l’activisme des malades du sida au milieu des années 1990. Cependant, elle a débuté à couvrir un champ sémantique plus étendu et à affecter un public plus vaste lorsque The Body Positive a commencé à l’utiliser.

Par sa définition, l’acceptation de la graisse reste un élément fondateur de la positivité corporelle.

Néanmoins, le mouvement du « body-positivisme » s’est diversifié. Il couvre désormais plus largement l’acceptation et la diversité corporelle. Ainsi, il donne à voir le « disgusting female body »[2] au travers de l’émergence et de l’établissement d’un contre-discours au bodyshaming.

Par conséquent, le « body-positivisme » prône l’acceptation de corps handicapés, de corps post-partum et de corps vieillissants notamment.

La conception la plus inclusive du terme permet une acceptation large des corps. Dès lors, il s’agit d’accepter ce qu’on considère comme des « défauts corporels » tels que la cellulite, les cicatrices, les rides, les poils, etc..

#bodypositive : le rôle des plateformes dans l’acceptation de soi

Le #bodypositive est présent sous plus de 18 millions de publications sur Instagram. Cela reflète donc une place grandissante dans le débat public et une notoriété incontestable du mouvement sur les réseaux sociaux.

Certains comptes d’utilisateurs/utilisatrices ont même été créés uniquement dans l’optique de promouvoir le body-positivisme. Dès lors, ils ne réalisent que des publications à ce sujet. C’est notamment le cas de Spencer Barbosa, que l’on peut retrouver sur divers réseaux sociaux.

Les créateurs/créatrices de contenus et les influenceurs/influenceuses ont permis à de nombreuses personnes de réaliser que les standards de beauté visibles dans les médias traditionnels ne représentent pas la majorité des apparences.

Ainsi, les plateformes ont favorisé l’émergence d’une alternative aux diktats esthétiques imposés par notre société.

En outre, les réseaux sociaux ont donné à voir un « nouveau sexy ». Ce dernier s’inscrit dans le respect du mouvement #MeToo. Il tente alors de se débarrasser du système patriarcal et de se nourrir du body-positivisme ainsi que de la lutte contre la grossophobie.

Pour Violaine Schütz, journaliste :

« Vivant leur adolescence avec la création d’Instagram, les jeunes […] ont découvert qu’il n’y a plus qu’une seule manière d’être sexy, mais plusieurs. Les hashtags sur le body positive y sont légion. Sur la toile, des filles séduisantes assument leurs rondeurs comme Barbie Ferreira, vue dans la série Euphoria. Elles peuvent montrer leurs poils sous les bras, comme l’a fait récemment Emily Ratajkowski sur Instagram. L’important pour cette génération, c’est la confiance en soi et la fidélité à ses convictions ».

Le body-positivisme dans la mode : l’exemple d’Ester Manas

À l’heure du body-positivisme, on somme la mode d’être plus inclusive.

Ainsi, émergent de nouveaux et nombreux créateurs ainsi que de nouvelles et nombreuses créatrices. Ils/elles s’illustrent comme des acteurs/actrices innovant.e.s.

Parmi ceux/celles-là, on peut citer la designer Ester Manas, diplômée de la prestigieuse école de mode de La Cambre.  Le Festival international de mode et de photographie de Hyères la repère en 2018 avec sa collection Big Again. Au sein de celle-ci, on retrouve des pièces dans des tailles allant du 34 au 50.

Ainsi, la jeune femme brise les codes en promouvant le « one size fits all », avec son collaborateur Balthazar Delepierre.

Cette vision novatrice de la mode naît d’une frustration de ne pas retrouver sa taille dans les défilés. À travers celle-ci, elle souhaite sublimer toutes les morphologies via des vêtements de taille unique. En effet, ces derniers s’adaptent aux corps grâce à des systèmes de serrage, de laçage et de coupe.

En mars dernier, lors de la Paris Fashion Week pour présenter la collection automne-hiver 2023/2024, Ester Manas a mis en valeur ses tenues au travers d’un casting de mannequins composé de toutes les carnations de peau et de morphologies.

Par conséquent, on comprend facilement que l’ADN de la marque franco-belge éponyme, qui se présente comme « éco-responsable et inclusive », ne représentait pas que le discours d’une saison.

C’est tout sauf anodin. Surtout lorsque les mannequins « grande taille » disparaissent des diverses Fashion Week, après avoir fait une apparition éclair pour des raisons de tendance et de marketing.

Vers un détournement du mouvement « body-positivisme » ?

Le « body-positivisme » : un effet de mode 

Le « body-positivisme » représente désormais un véritable argument de vente.

Néanmoins, derrière l’image d’une nouvelle culture inclusive, se camoufle une instrumentalisation du mouvement.

Ainsi, en particulier, pour la collection automne 2019, la marque Zara a fait appel au mannequin néerlandais Jill Kortleve. Via ses réseaux sociaux, la jeune femme a remercié la marque espagnole de l’avoir choisie « comme l’un des premiers mannequins curvy pour [son] site ». Or, le mannequin fait une taille 40/42, soit la moyenne en Belgique et en France. Même si l’on s’éloigne des silhouettes de mannequins auxquels on est habitué, l’objectif marketing de Zara est à peine déguisé.

Un « body-positivisme » déraciné

En outre, la définition originelle du « body-positivisme » a été modifiée en raison de l’expansion du mouvement.

La positivité corporelle contemporaine[3] a décentré les voix et les corps les plus radicalement différents à la genèse du mouvement. Cela aboutit à une « positivité corporelle socialement acceptable » [4].

Ainsi, aujourd’hui, le regard sur les personnes en surpoids ou obèses n’a pas radicalement changé.

Un corps normé pourrait-il se réclamer du « body-positivisme » ?

Dans un même temps, la question de la légitimité à rejoindre le mouvement émerge.

Louise Aubery en parle dans le podcast « Le body-positivisme ou l’art de vivre avec ses complexes » de France Inter. Ainsi, elle rappelle qu’il n’existe pas un « monopole du complexe ».

Par conséquent, les personnes correspondant aux critères de beauté sociétaux peuvent également ne pas se sentir à l’aise dans leur corps ou peuvent souffrir de dysmorphophobie.

A mon sens, le mouvement devrait permettre à tout le monde d’accepter son corps. Mais, il est important de ne pas invisibiliser les personnes pour qui et par qui ce mouvement a été créé à l’origine. En effet, ces personnes subissent réellement des discriminations au quotidien au sein de notre société.

Une nouvelle injonction ?       

Aussi, ce mouvement, qui prône l’acceptation de soi, cache une nouvelle injonction à s’aimer.

En effet, il est déjà compliqué d’apprécier nos petits défauts. Alors, cela ne reviendrait-il pas à infliger une double peine aux personnes grosses : « sois XXL et tais-toi » ?

En définitive, on accuse le mouvement de faire émerger de nouveau diktats esthétiques. De fait, on valorise ce que serait un « vrai corps », en opposition à un « faux corps ».

Manon Delcourt, alias Dairing Tia sur sa chaîne Youtube, dénonce la tournure que prend le mouvement du « body-positivisme ». Elle prend notamment l’exemple des personnes se créant des bourrelets ou montrant leur ballonnement.

Les corps ici représentés ne constituent pas une hégémonie de ce à quoi la femme devrait ressembler.

Les influenceurs/influenceuses se réclamant du « body-positivisme » démontrent une certaine réalité. Mais, il s’agit de leur réalité.

« Remettre en question des normes uniques et totalitaires bouscule forcément les codes et aide à réduire la pression exercée par les diktats de beauté. Mais je ne crois pas que ce soit une révolution pour l’instant », résume et conclut parfaitement Catherine Grangeard, psychanalyste, psychologue et psychosociologue.

Marine Pubert


Notes

[1] Thompson et Hirschman, 1995 ; Featherstone, 2010

[2] Le « digusting female body » renvoie à la conception traditionnelle de ce qui serait « dégoutant » dans le corps de femmes. Cela comprend les corps féminins poilus, menstruées, gras, etc.

[3] Par « contemporaine », on entend ici le sens actuel du terme.

[4] RUTTER Bethany, « How ‘body positivity’ lost its true and radical meaning », Dazed, 2017.

Références juridiques

/

Ressources

Grossophobie

Pour aller plus loin

Carrard Isabelle, Della Torre Sophie Bucher, Levine Michael, « La promotion d’une image corporelle positive chez les jeunes », Santé Publique, 2019/4 (Vol. 31), p. 507-515. DOI : 10.3917/spub.194.0507.

« Nami Isackson : mannequin curvy et directrice de casting », Podcast Mannequin ect., NRJ, 2023.

« Manas, la créatrice qui célèbre toutes les morphologies », Alexandre Marain, Vogue France, 2022.

Lechner Elisabeth, « The Popfeminist Politics of Body Positivity: Creating Spaces for ‘Disgusting’ Female Bodies in US Popular Culture », Revue française d’études américaines, 2019/1 (N° 158), p. 71-94. DOI : 10.3917/rfea.158.0071.

Lopez Ludivine, Basse Paul, « Diktat de la maigreur : 60 ans d’exigence », Retour de l’info, Institut national de l’audiovisuel (INA), 2017.

Morin Alice, « Représentations féminines et stéréotypes dans la presse de mode américaine : le tournant des années 1970 », Revue française d’études américaines, 2019/1 (N° 158), p. 13-28. DOI : 10.3917/rfea.158.0013.

Monjaret Anne, Tamarozzi Federica, « Pas de demi-mesure pour les Miss : la beauté en ses critères », Ethnologie française, 2005/3 (Vol. 35), p. 425-443. DOI : 10.3917/ethn.053.0425.

Stagiaire Le Vif, « Anorexie : la France instaure la Loi mannequin », Le Vif, 2017, mise à jour en 2020.

Floor Anne, « Notre société de l’image accusée de troubles alimentaires : vrai ou faux ? », Analyse UFAPEC, 2014.

Le Cain Blandine,  AFP Agence, « Législation à l’encontre des mannequins trop maigres : la France à la traîne », La Figaro, 2015.

Briones Eric, André Nicolas, « Choc z n° 9. Le choc stéréotype », dans : Eric Briones éd., Le choc Z. La génération Z, une révolution pour le luxe, la mode et beauté ». Paris, Dunod, « Hors collection », 2020, p. 97-106. DOI : 10.3917/dunod.neur.2020.01.0097.

Noel Matthieu, Aubery Louise, Tranie Benjamin, « Le body positivisme ou l’art de vivre avec ses complexes », France Inter, 2022.

Ghyselings Marise, « Non, ce mannequin engagé par Zara n’est pas « plus-size » », Paris Match, 2019.

Agasseau Jessica, « Le body-positivisme sur Instagram : la consommation d’un média social comme moyen d’émancipation », Mémoire Sciences de la gestion (Spécialisation Marketing) HEC Montréal, 2022.

Dairing Tia, « Mon souci actuel avec le Body Posi… », 2023.

Victoria Hidoussi, « À double tranchant : les limites du body positive », Madame Figaro, 2022.

Blog « Les 400 culs », « Fat positive : et si c’était négatif ? », Libération, 2019.

Balla Fofana, « Abercrombie & Fitch, la discrimination s’habillait en cool », Libération, 2022.

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