Maternité

Maternité

Introduction

Par définition première, la maternité désigne la « qualité d’être mère ». Ce terme descend du latin médiéval « maternitas » qui signifie « qualité de mère ».

Cependant, le dictionnaire de l’Académie française met en avant deux définitions supplémentaires. L’une d’entre elles attache la maternité au fait de « porter et mettre au monde un enfant ». La seconde fait référence au service hospitalier encadrant l’accouchement.

Le sujet est donc large. Ici, nous allons l’étudier sous un angle féministe. Cela implique de décortiquer les normes et les attentes sociales pesant sur les femmes. Nous visons autant les mères, les futures mères que celles qui ne souhaitent pas donner la vie.

Ces attentes négligent les émotions des femmes concernées. Et elles mettent de côté leurs libertés de manière explicite ou implicite.

De plus, déconstruire les attentes pesant sur le sujet féminin se révèle complexe. En effet, il s’agit de décortiquer la « nécessité » de donner la vie et d’apprécier la grossesse. D’autant plus que cette injonction se développe dans un contexte social où l’expérience de maternité est institutionnalisée et sexiste.

«Mothering » et «motherhood » : des nuances dans les définitions

Ainsi, l’expérience de la maternité est institutionnalisée. Cela signifie qu’il est rare que l’expérience de la femme soit exempte de l’influence de normes sociales.

Il s’agit de la question que l’ouvrage « Regards critiques sur la maternité dans divers contextes sociaux » tente de traiter.

Ici, la maternité se caractérise sous l’angle de la définition de Forcey. Par conséquent, les auteurs l’identifient comme un « ensemble d’activités socialement construites, impliquant l’éducation, la prise en charge et les soins ».

Le livre s’appuie également sur la définition de Levine et Estable, « la maternité est faite de joie, de peine, et de luttes humaines ».

Dans l’introduction, les auteurs différencient l’expérience individuelle d’être mère (« mothering ») et la maternité en tant que terme institutionnalisé (« motherhood »).

Motherhood, stigmatisation et pressions sociales

Une expérience institutionnalisée

Le terme « motherhood » fait alors référence à l’expérience institutionnalisée d’être mère.

Ce dernier se construit à travers des discours politiques, économiques et sociaux. Évidemment, cela se fait de manière idéalisée.

Elle reposerait alors sur trois croyances. Premièrement, celle que toutes les femmes ont besoin d’être mère. En deuxième, le fait que toutes les mères ont besoin de leur.s enfant.s. Enfin, celle que tou.te.s les enfants ont besoin de leur mère.

S’opposer à ce modèle fixe et idéalisé signifierait évoluer à rebours des conventions sociales.

Ne pas suivre ce qui est communément accepté peut cependant se révéler compliqué. Cela demande d’aller à contresens de normes intégrées dès l’enfance. De plus, cela implique d’être soumise aux jugements et pressions extérieures.

« La société définit les femmes essentiellement par rapport à la maternité et à leur rôle de mère, leurs besoins et leurs désirs qui s’en trouvent subordonnés. La maternité-institution attend également des femmes qu’elles mettent de côté leur propre identité au profit de l’accomplissement de leur rôle de mère. » (Lavergne et al.)

Le vécu de la grossesse : objectivation du corps de la femme

Durant la période de la grossesse jusqu’à l’enfantement, les normes sociales autour du « motherhood » placent le ressenti de la mère au second plan. À cet égard, l’autrice Camille Froidevaux-Metterie et Maria Pourchet s’expriment sur le sujet, dans un podcast réalisé par France culture. Ce dernier porte sur la maternité.

L’ouvrage rédigé par Camille Froidevaux-Metterie s’intitule « Un si gros ventre ». Dans celui-ci, l’autrice a enquêté sur le vécu de la grossesse. En ce faisant, elle met en avant le ressenti des femmes avant leur accouchement. Elle y dénonce le fait que les sentiments des femmes sont mis de côté à cette période.

Camille Froidevaux-Metterie explique que durant la grossesse, la société a tendance à interpréter le corps des femmes comme un « corps à faire des bébés ». Ce dernier aurait alors une nature fonctionnaliste.

Dans son ouvrage, l’autrice met en place une enquête phénoménologique. Celle-ci vise à penser l’expérience vécue de la grossesse sous l’angle des femmes qui l’éprouvent concrètement. En somme, elle considère les futures mères comme des sujets réflexifs.

Effectivement, l’autrice a pris conscience des violences psychologiques faites aux femmes lors de leurs grossesses. Elle avance que sa propre souffrance et ses perceptions n’ont pas été écoutées. Et elle ajoute que le corps médical comme la société dans son ensemble a négligé la prise en compte de son vécu et de son expérience intime.

De plus, elle opère également un lien avec l’influence de la société patriarcale mettant au second plan le ressenti féminin. En effet, aux yeux de cette société patriarcale, le corps de la femme se « limiterait » à ses capacités reproductives et sexuelles.

Mère et expérience de grossesse : la contrainte de « profiter » de la grossesse

La société minimise le ressenti des femmes enceintes. De plus, de lourdes injonctions sociétales pèsent sur leurs épaules.

Bien entendu, une idée socialement construite induit que leurs corps se limitent aux fonctions reproductives et sexuelles. Par conséquent, des contraintes psychologiques s’imposent aux femmes enceintes. Cela les oblige alors (directement ou indirectement) à affectionner leurs expériences de grossesse. En effet, celle-ci doit rimer obligatoirement avec épanouissement personnel.

Or, cet épanouissement ne constitue pas une réalité pour toutes.

Il n’y a pas d’universalité dans l’appréciation de l’expérience de grossesse. Voire cette appréciation se révèle même plus rare que ce que les normes sociétales pourraient nous laisser penser.

Être enceinte : l’abstraction du corps

Maria Pourchet, romancière, a rédigé l’ouvrage « Toutes les femmes sauf une ». Elle a également participé au podcast de France culture pour décrire, raconter l’expérience ambivalente du corps enceint.

Cette dernière avance avoir eu le ressenti d’être minorée en tant que femme. Lors de sa grossesse, on l’a « renvoyée à une certaine condition ».

Elle affirme que l’effort de la maternité est ignoré par la société. Cela résonne avec le témoignage précédent. On fait abstraction du corps de la femme.

Maria Pourchet mentionne que même dans les premiers mouvements féministes, on perçoit les femmes comme pouvant tout faire comme des « hommes comme les autres ». Mais, pour ce faire, elles doivent mettre de côté leurs corps.

Elle fait aussi référence au fait qu’être enceinte constitue une injonction. Or, celle-ci peut nuire à la réussite professionnelle et à la carrière d’une femme.

En effet, elle remarque l’absence de la figure d’homme lors de la grossesse et de l’expérience de la maternité.

Évidemment, ce dernier se focalise sur sa croissance professionnelle et personnelle. Il bénéficie du privilège de ne pas s’occuper de ce que la romancière appelle les « ressources maternelles ». Il s’agit, par exemple, de l’éducation, du fait de s’occuper de l’enfant, etc.

L’expérience de la grossesse : des pressions autour des corps

Rachel F. Rodgers a rédigé un article intitulé « Sociocultural pressures and body related experiences during pregnancy and the postpartum period: a qualitative study ». Ce dernier confirme ce que nous avons mentionné précédemment quant à l’abstraction du corps féminin.

Cet article se base sur une étude qualitative sur le ressenti d’un groupe de femmes ayant déjà accouché. On a interrogé ces dernières quant à l’impact qu’ont eu les normes sociales et les attentes liées à l’apparence sur leurs expériences de grossesse.

Dans cette étude, les femmes font référence à l’influence des médias sur leurs perceptions corporelles.

Sur les réseaux sociaux, on observe une valorisation à rester mince. Il y a également une pression à rester « en forme » dans un corps tonique.

Cette contrainte concerne d’autant plus les femmes enceintes. En effet, la grossesse implique presque systématiquement une prise de poids et des changements hormonaux.

Cette étude ne visait cependant pas forcément à observer les différentes obligations et réactions des femmes quant aux idéaux corporels. L’objectif consistait davantage à relater divers agents socioculturels. Particulièrement ceux influençant le rapport qu’ont les femmes enceintes avec leurs corps.

Être libre d’être mère… Ou de ne pas l’être : une société négligeant par défaut la voix des femmes

Le documentaire réalisé par ARTE « Des enfants ? Non merci », commente les pressions autour d’un parcours de vie « type » qu’une femme devrait adopter pour se fondre dans les normes sociales.

Bien sûr, ce « parcours type » inclut le fait de donner la vie.

Encore une fois, ce documentaire prouve que les femmes sont davantage guidées par les attentes sociales que par leurs choix propres.

Mais qu’en est-il des femmes stériles ? Qu’en est-il des femmes qui — ouvertement — s’opposent au fait d’avoir des enfants ?

Quelle influence, quel poids a le corps médical dans les décisions des femmes ?

A cet égard, le documentaire mentionne que certain.e.s médecins refusent de ligaturer les trompes de femmes qui le demandent. Et ce, peu importe l’âge de la patiente et le contexte dans lequel elle se trouve.

Pourtant, de nombreuses femmes ne voulant jamais avoir d’enfant aimeraient y recourir en toute liberté.

Ce qui peut surprendre, ce sont toutes ces contraintes imposées sur le corps des femmes dès leur plus jeune âge. On les pousse à prendre la pilule tôt dans leur vie pour éviter de tomber enceintes à un âge dit « prématuré ». En revanche, paradoxalement, plus elles vieillissent, plus on leur met une pression pour procréer « avant qu’il ne soit trop tard ».

La question de la maternité et du féminisme ne tourne alors pas autour du fait de vouloir un.e enfant ou non. Pour étudier la maternité sous un angle féministe, nous analysons l’effet des normes sociales et patriarcales.

Or, celles-ci laissent peu de place au libre arbitre des femmes. Dans tous les témoignages du documentaire, on ressent les répercussions négatives de ces contraintes sur la santé mentale et physique des concernées.

Quelle réponse adopter ?

Quelle réponse adopter face à cette pression latente exercée sur les corps des femmes ? D’autant que celles-ci s’exercent avant même que ces dernières soient en mesure d’enfanter, à tout âge. Voire, sans discussion préalable quant à leurs préférences et expériences personnelles.

Face aux injonctions sociétales, la meilleure solution consiste à laisser les femmes prendre leurs décisions en paix. Dès lors, il s’agit de continuer à lutter pour la liberté des corps des mères. Mais aussi de batailler pour le respect de celles qui choisissent de ne pas l’être.

Bien sûr, il reste également nécessaire de stopper l’objectification et l’idéalisation d’un « parcours de femme type » ou d’une grossesse parfaite.

Les femmes et l’éducation : une place centrale ?

Il en va de même pour l’éducation. Sans oublier tout ce qui reste attendu d’une femme pour qu’on la considère comme une « bonne mère ».

Chaque histoire est singulière. Et il existe autant de femmes que de contextes différents.

Ainsi, il n’y a pas une seule manière d’être femme, de donner la vie et d’élever ses enfants.

En revanche, être soumise constamment aux pressions sociales en dépit des choix personnels ne peut mener qu’au négatif.

De plus, le rôle d’une mère et celui d’un père dans une famille dite « traditionnelle » restent déséquilibrés. En effet, on attend souvent du père d’être le pilier économique, de travailler. Par contre, on estime que la mère doit procréer, s’occuper du foyer et éduquer les enfants.

Pour cette raison, le sujet de la maternité implique aussi le sujet de l’éducation.

Vers une éducation féministe ? La neutralité est-elle une solution ?

En effet, l’éducation fournie aux enfants — souvent par la mère — se révèle loin d’être neutre.

Le podcast produit par ARTE radio « Comment élever les garçons » interroge le sujet. Il fait d’ailleurs part du challenge d’éduquer un garçon dans une société patriarcale.

Pourtant, nous estimons nécessaire de déconstruire l’« équilibre » familial sexiste et patriarcal. Or, une des seules solutions consiste à décortiquer les normes sociales dès l’enfance.

Cependant, disséquer des normes sociales tant imbriquées dans les modes de vie s’avère complexe. Ainsi, l’éducation dite « neutre » tente de faire fi des attentes liées au genre des enfants. Cependant, cet essai de neutralité ne met pas à l’abri de l’influence des normes sociales sexistes. Pensons par exemple à celles véhiculées par des camarades de classe.

Sur le papier, l’éducation « neutre » pourrait fonctionner. Dans les faits, l’emprise du patriarcat demeure trop forte pour disparaître et permettre à l’éducation « neutre » d’être efficace. Et ce, d’autant plus qu’aucun.e parent ne peut totalement s’affranchir des normes de genre intégrées depuis l’enfance.

La solution consisterait donc davantage à travailler la déconstruction des conventions sociales sexistes et aliénantes.

Il s’agit alors de faire prendre conscience aux enfants que les stéréotypes existent. En outre, il faut leur apprendre que les normes existent, sont et vont rester influentes. De plus, il faut aussi préciser aux enfants qu’il n’y a aucune obligation de suivre ces règles. D’ailleurs, la société serait plus juste sans schémas familiaux, sociaux, stéréotypés.

En somme, il faudrait leur apprendre à « lire les normes de la société », pour réduire leur emprise.

Maternité et expériences postgrossesse : la dépression post-partum ?

Aborder la maternité, du fait de donner la vie, implique également de parler des conséquences sur la santé mentale des mères après coup. Il nous semblait donc important de soulever le sujet de la dépression post-partum.

Ici, il s’agit d’évoquer les liens entre la maternité, le patriarcat et la dépression post-partum.

D’après une récente étude de l’Organisation mondiale de Santé, plus d’un tiers des femmes souffrent de douleurs persistantes — voire chroniques — suite à leur accouchement.

Ces douleurs peuvent être physiques. Mais les fragilités peuvent aussi se manifester par un mal-être psychologique. En occident, la dépression post-partum touche 11 à 17 pour cent des femmes.

D’après le manuel MSD, la dépression post-partum « correspond à des symptômes dépressifs qui durent plus de deux semaines après l’accouchement et répondent aux critères d’une dépression majeure ».

L’O.M.S. mentionne également que des antécédents de dépression accroissent les risques pour les femmes de développer une dépression post-partum.

Il faut donc creuser un peu plus pour voir si les causes n’auraient pas un lien avec les pressions d’un modèle sociétal sexiste et patriarcal.

Noter la différence : ne pas confondre « baby blues » et « dépression post-partum »

Un article publié par l’UNICEF peut nous aider à évaluer avec plus de précisions les sources de la dépression post-partum.

Cet article interroge A. Stuebe, une spécialiste en périnatalogie, professeure d’obstétrique et de gynécologie à l’École de médecine de l’Université de Caroline du Nord.

La chercheuse avance que l’état dépressif ou la dépression post-partum peut s’expliquer par des changements hormonaux. Ainsi, la variation des taux de progestérone après la grossesse peut être un facteur. Cependant, la fatigue, l’épuisement, les difficultés à allaiter et d’autres complications post-partum affectent aussi la santé mentale des femmes après l’accouchement.

Il faut également bien faire la différence entre la dépression post-partum et le « baby blues ». Effectivement, le « baby blues » reste temporaire, persiste moins de deux semaines. On ne peut pas le comparer à un état dépressif en tant que tel.

Une dépression post-partum dure en effet plus longtemps. De plus, elle entraîne des conséquences plus lourdes sur le quotidien.

Pressions sexistes, schéma sociétal patriarcal… : de potentielles causes augmentant les risques de dépression post-partum ?

Que ce soit pour tenter de trouver les causes du baby blues ou celles de la dépression post-partum, l’UNICEF ne mentionne pas seulement le facteur des changements hormonaux ou des antécédents dépressifs.

Ainsi, elle avance des raisons supplémentaires à l’état dépressif postaccouchement, notamment l’attitude de l’entourage de la personne accouchant.

En effet, le risque de développer des problèmes de santé mentale comme la dépression après la grossesse augmente si la mère (ou prochaine mère) n’a pas de soutien de la part de ses proches, a eu des expériences sociales difficiles dans l’enfance, a subi des violences dans le passé, a une faible estime d’elle-même ou vit dans des conditions défavorables.

Quels liens faire avec le patriarcat ? Le modèle patriarcal laisse la mère en charge de l’éducation de ses enfants. Par conséquent, la femme se retrouve peu soutenue.

De la même manière, les attentes sexistes peuvent mener à une baisse de l’estime personnelle. Pensons, par exemple, à l’injonction de garder un « physique idéal ».

Dans le même ordre d’idées, on considère socialement les femmes comme « plus vulnérables ». Encore une fois, cela fait lien avec les normes patriarcales et sexistes imposées directement ou indirectement par la société. Dès lors, ces dernières risquent plus d’être victimes de violences. Ces violences peuvent être physiques, verbales, directes, indirectes, sexuelles…Or, elles affectent forcément les expériences de grossesse.

Conclusion

De l’expérience de la femme enceinte aux schémas familiaux et aux méthodes d’éducation jusqu’à l’état psychologique des mères après grossesse, cet article a étudié le sujet de la maternité sous des angles variés.

En revanche, un point réunit toutes ces thématiques. Elles subissent toutes l’influence (négative) des pressions sexistes et des attentes pesantes mettant de côté le ressenti féminin. Ainsi, la société impose des contraintes sur les corps des femmes. Cela concerne les sensations physiques, psychologiques. Mais, il s’agit aussi de l’injonction de correspondre à des idéaux moraux et physiques inatteignables.

En effet, le schéma familial traditionnel impose la présence d’une mère et d’un père. Et il attend de la mère de se charger davantage de l’éducation des enfants que le père.

Cependant, les attentes autour de l’éducation véhiculent en elles-même des schémas sexistes et problématiques. Elles contribuent même à les nourrir.

Pour en sortir, seules une constante éducation et une prise de conscience aux alentours de l’existence de ces normes peuvent fonctionner.

Ainsi, déconstruire les conventions sociales autour de la maternité s’avère être un travail long et fastidieux. En effet, il nous pousse à continuellement questionner les schémas familiaux dans lesquels nous avons baigné. Ceux auxquels nous nous sommes habitués.

Cependant, ces efforts restent nécessaires, au vu de l’influence négative des attentes sociétales quant à l’expérience de maternité.

Effectivement, ces pressions impactent les femmes que ce soit sur le plan physique ou psychologique. Mais elles touchent également l’équilibre familial en général. De plus, elles assurent la continuité d’un sexisme traditionaliste encore puissant dans les sociétés contemporaines.

Azélie Maurice

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La maternité

Références juridiques

Loi

Pour aller plus loin

  • Dominique Damant, Simon Lapierre « regards critiques sur la maternité dans divers contextes sociaux » (Dominique Damant, Simon Lapierre) (2012), Presses de L’Université du Québec

  • La Maternité : fabrique d’une pensée féministe (2023), Radio France (France culture)

  • ARTE Radio Un Podcast à soi : Le pouvoir des mères (2020) Camille Froidevaux-Metterie Philosophe, professeure de Sciences Politiques, Maria Pourchet

  • Rachel. F . Rodgers, Sociocultural pressures and body related experiences during pregnancy and the postpartum period: A qualitative study (2024) ScienceDirect

  • Des enfants ? Non merci ! 2024, ARTE

  • Elizabeth Brown, Les contributions des pères et des mères à l’éducation des enfants, 2007, Revue française des Affaires Sociales

  • ARTE Radio, Comment élever les Garçons ? Un podcast à soi (2023)

  • Accouchement et dépression post-partum ; 2023 Organisation Mondiale de Santé

  • Julie.S.Moldenhauer, Le Manuel MSD 2024

  • Mandy Rich, Qu’est-ce que la dépression du post-partum ? 2024 (UNICEF)

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