Sexisme

Introduction

Particulièrement dans le milieu féministe, on dénonce souvent les discriminations, attitudes, et commentaires sexistes. Cependant, employer le terme « sexisme » n’a pas le même effet ni la même signification selon les objectifs et convictions de la personne qui l’emploie.

Ainsi, dans cet article, nous explorerons les multiples définitions du terme. Cela nous permettra notamment d’aborder la question de la légitimité de parler de « sexisme anti-homme ».

Il semble également important de rattacher le sexisme à des actes concrets. Nous ferons ici alors part d’exemples de situations sexistes à des échelles variées. Nous étudierons ensuite les perspectives de solutions inclusives pour mettre fin aux discriminations liées au genre.

Définir le sexisme : existe-t-il un sexisme anti-homme ?

Quelques repères définitionnels

D’après le dictionnaire de l’Académie française, le terme de sexisme a été formé au XXe siècle. C’est un dérivé de sexe, sur le modèle de racisme.

Par définition, c’est une attitude de discrimination valorisant un sexe par rapport à l’autre et, en particulier, les hommes par rapport aux femmes.

Cette définition avance que même si cette attitude de discrimination valorise un sexe par rapport à l’autre, cela concerne davantage une discrimination de la part des hommes sur les femmes.

En suivant cette logique, cela n’implique pas essentiellement le rapport de force des Hommes sur les femmes. Mais peut-on pour autant concevoir l’existence d’un sexisme « anti-hommes » ?

L’impossibilité d’un sexisme anti-homme ?

Selon une étude menée par le « collectif contre les violences familiales et l’exclusion » (cvfe), il n’y aurait pas de sexisme « anti-homme » en tant que tel. Leur article met en avant une définition plus féministe du terme. Effectivement, les auteurs définissent le sexisme de la manière suivante :

« une notion qui englobe plusieurs particularités : un rapport de pouvoir hiérarchisé entre les genres, un caractère systémique et une action à tous les niveaux de la société, de l’individuel à l’institutionnel ».

Or, il n’existe pas de hiérarchie et il n’y a pas un rapport de force institutionnalisé des femmes sur les hommes. En revanche, c’est le cas dans le sens inverse, et le modèle patriarcal existant contribue à perpétuer un schéma de domination des hommes sur les femmes. Cela affecte quasiment tous les domaines, que ce soit dans l’espace public ou privé, dans les relations professionnelles comme sentimentales. Ces rapports de force discriminants impactent tant les femmes à l’échelle collective qu’individuelle. De plus, l’idéologie patriarcale et les idéaux de masculinité toxique ont des conséquences négatives sur la santé physique et mentale des hommes qui la perpétuent.  

D’après cette même étude, il serait même dangereux d’avancer qu’un sexisme inversé puisse exister. Cela mettrait en péril l’avenir des luttes féministes en œuvre.

« Le concept de “sexisme inversé” ou “sexisme anti-hommes” est donc non seulement (évidemment) admis dans les milieux de droite et antiféministes, car il est un instrument de maintien d’un ordre conservateur, du statu quo ou de régression dans la marche vers plus d’égalité entre les genres, mais il a également infiltré le discours de personnalités de “gauche”, et est même une notion aujourd’hui reconnue par certaines institutions publiques et féministes. »

S’il n’y a pas de discriminations systémiques et de hiérarchie institutionnalisée d’un genre sur l’autre, le terme « sexisme » ne peut pas être utilisé à des fins honnêtes et cohérentes. Ainsi, le sexisme anti-homme n’existe pas.

La misandrie, la haine des hommes ou d’un modèle patriarcal ?

L’existence du sexisme anti-homme n’est pas légitime si l’on suit l’idéologie féministe. Cette affirmation nous encourage à reconcevoir notre perception de la misandrie et des significations qui y sont attachées. Selon le dictionnaire de l’Académie française, la misandrie est (quelqu’un) qui « regarde l’ensemble des individus de sexe masculin avec hostilité, aversion, mépris ». Ce terme est composé à partir de mis- et du grec anêr, andros « homme ».

En suivant cette définition, être misandre serait discriminant et injuste. Cependant, un podcast réalisé par radio France diffusé sur la chaîne France Inter (« la misandrie, la haine des hommes ?), interroge Chloé Delaule, écrivaine féministe. Cette dernière apporte une tout autre définition du terme :

« Ce n’est pas la haine de l’homme au sens essentialiste, ce n’est pas non plus la haine et le mépris d’une personne physiologiquement masculine, c’est la haine et le mépris du comportement patriarcal. »

Il serait alors cohérent d’employer le terme « misandre » dans les milieux féministes, seulement pour souligner l’injustice des mécanismes de pouvoir des hommes sur les femmes en société.

Le sexisme dans l’espace public : les conséquences sur la santé physique

Nous avons défini les significations des termes « sexisme » et « misandrie ». Il est désormais important de mettre en avant des exemples concrets de mécanismes de domination en œuvre nuisant à la cause féministe. Cela passe notamment par une observation de l’espace public, des administrations, des institutions. 

Ici, nous allons observer la manifestation du sexisme dans les institutions et structures touchant au domaine médical.

L’endométriose : un manque de recherches et un manque d’écoute des femmes

Un article publié sur le site concernusa.com met en avant une étude réalisée par l’Organisation mondiale de santé quant à l’endométriose. Pour donner davantage de précisions, l’endométriose se caractérise par le développement de tissus semblables à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus. Elle peut entraîner une douleur aiguë dans le bassin et des difficultés à tomber enceinte. Elle peut apparaître dès les premières règles jusqu’à la ménopause. (définition de L’Organisation Mondiale de Santé).

C’est une maladie chronique ne concernant pas le sexe masculin. Cependant, le diagnostic prend en moyenne plus de sept ans, révélant des lacunes en recherche médicale sur le sujet. Ces lacunes ne seraient-elles pas le reflet d’un système patriarcal, négligeant la parole de la femme et minimisant sa douleur ?

Des diagnostics plus longs et moins fiables ?

L’article publié sur concernusa.org a mis en avant, dans cette même lignée, les résultats d’une étude réalisée en Angleterre. Cette étude a suivi plus de 18 000 individus atteints de 15 différents types de cancer. Les résultats ont révélé que presque systématiquement, les femmes ont dû attendre plus longtemps pour avoir un diagnostic fixe après avoir détecté des symptômes.

De la même manière, The Heart Association and the (american) Institute of health ont alerté quant aux biais genrés affectant les femmes dans les traitements et le suivi des maladies cardiaques.

Le sexisme dans l’espace public : les conséquences sur la santé mentale

Les effets du patriarcat sur la santé mentale

Ici, on a évoqué les problèmes de santé biologiques. Les symptômes, bien que minimisés, voire ignorés, restent visibles. Les inégalités demeurent, mais elles semblent bien plus simples à pointer du doigt et à dénoncer que les problèmes de santé mentale résultant d’une dynamique patriarcale.

En effet, le site medicalnewstoday a souligné dans un de ses articles que les standards de beauté pouvaient affecter la santé mentale des individus. Les commentaires, les pressions liées aux idéaux corporels ont un effet négatif sur nos schémas de pensée. De la même manière, les réseaux sociaux, la télévision, et les films contribuent à véhiculer des normes de beauté non réalistes.

Ces idéaux physiques sont en lien avec une dynamique sexiste et patriarcale. En effet, le modèle patriarcal catégorise les genres, et place des attentes autant morales que physiques. On peut faire référence aux idéaux de force et de silhouette musclée pour les hommes, et de minceur pour les femmes.

La pression sociale et les normes de beauté

Cependant, ces normes faisant pression sur le physique affectent davantage les femmes que les hommes. Effectivement, un rapport de l’association américaine « now.org » l’a confirmé. L’association a avancé qu’à l’âge de treize ans, 53 % des jeunes filles américaines n’étaient pas satisfaites de leurs corps. À l’âge de 17 ans, ce chiffre monte même à 76 %.

On pourrait lier ces données aux changements corporels et hormonaux liés à l’adolescence. Cependant, les résultats des recherches mettent en lumière que de telles pressions demeurent même en prenant de l’âge. Même à 60 ans, autour de 30 pour cent des femmes ne seraient pas en accord avec leurs corps.

De plus, les données moyennes quant au nombre de femmes de plus de 60 ans ayant la volonté de recourir à la chirurgie esthétique sont quasiment les mêmes à 17 et à 60 ans (plus de 40 %). Cela illustre bien que la charge mentale liée aux idéaux physiques féminins va au-delà des âges et des générations. C’est une résultante d’un système de domination patriarcal latent.

La place des idéaux corporels dans le développement de troubles du comportement alimentaire

Toujours en reprenant l’étude menée par l’association « now.org », les femmes semblent plus à même de développer des troubles du comportement alimentaires. Cela aurait à voir avec les pressions physiques pesant sur leurs épaules.

Selon le site du CHU de Nantes, un trouble du comportement alimentaire peut « être défini comme une perturbation de la relation à l’alimentation, altérant de façon significative la santé physique comme l’adaptation psychosociale. » Que ce soit des compulsions alimentaires ou des restrictions, une insatisfaction corporelle peut être un grand facteur déclencheur.

Par exemple, la restriction peut être liée à une volonté de contrôle quant à l’apparence. Cependant, cela peut aussi être une réponse aux pressions patriarcales latentes. Le site de l’association mentionne que les troubles du comportement alimentaire sont fréquents chez les jeunes filles et les jeunes femmes adultes jusqu’à l’âge de 25 ans. Nous verrons que les chiffres et les données mêmes sur le sujet sont biaisés par des normes sexistes.

L’importance de solutions inclusives et intersectionnelles

En effet, il y a un « idéal type » de la patiente atteinte de troubles du comportement alimentaire. Ce dernier est souvent véhiculé par les médias ou par les centres médicaux hospitaliers. Cela fausse les données sur le sujet. C’est notamment ce que l’association Nalgona Pride tente de pointer.

L’association Nalgona Pride milite pour un diagnostic et un suivi plus large des patient.e.s. Elle prône une démarche féministe et intersectionnelle, se détachant d’une lecture simpliste des causes des TCA (Troubles du comportement Alimentaire). Une lecture simpliste implique de penser que ce patient typifié serait une jeune femme ou une adolescente venant d’un milieu social privilégié, quasiment systématiquement blanche et occidentale. De plus, selon cette lecture simpliste, les troubles se développeraient exclusivement pour se plier à des normes de beauté. Cela met alors de côté les causes personnelles, culturelles et celles liées au stress des pressions sexistes minimisant la place de la femme. De la même manière, ces discours simplistes sont souvent centrés sur la restriction alimentaire et sur l’anorexie mentale.

Or, chaque individu expérience son TCA différemment. Négliger la diversité des troubles existants ne permet pas de se fier aux données des patient.e.s diagnostiqué.e.s. Il ne s’agit pas de dire que les patientes correspondant au modèle typifié n’existent pas. Seulement, il faut également prendre conscience que d’autres modèles sont existants. Conscientiser, cela permet d’établir des traitements personnalisés, prenant en compte les causes multifactorielles des TCA.

Les troubles du comportement alimentaire : les résultats d’un modèle patriarcal ?

Effectivement, l’association Nalgona Pride met en avant le fait que ces troubles ont des causes plus profondes davantage rattachées aux conséquences d’un système sociétal problématique plutôt qu’une volonté de correspondre à des idéaux physiques. Ainsi, les TCA concerneraient bien plus d’individus. À noter que c’est une maladie mentale n’ayant pas essentiellement d’effets sur le physique. En outre, de nombreux professionnels de santé mettent davantage l’accent sur leurs conséquences sur l’état physique des patiente.s. Négliger les effets psychologiques du trouble ne permet pas une guérison saine.  

L’association Nalgona Pride prône alors une approche plus inclusive. Cela implique de prendre pleinement en compte l’aspect psychologique, mais également d’adopter une approche plus large ne se focalisant pas exclusivement sur le cas des pays occidentaux. En effet, il s’agit aussi d’observer l’impact du colonialisme et de la logique patriarcale sur le développement et le diagnostic des troubles. Il faut également observer les singularités des manifestations des TCA selon les contextes culturels et sociaux.

Cela illustre bien que les luttes féministes ne peuvent être efficaces sans l’adoption de démarches inclusives et intersectionnelles.

Le sexisme dans la sphère publique : les effets du sexisme sur le monde professionnel

Le sexisme impacte également le milieu professionnel et les carrières des sujets féminins.

Un article du média « culture shift » a mis en évidence cela. En effet, le site mentionne que cela peut se manifester par des blagues sexistes récurrentes considérées comme anodines. De la même manière, cela peut se traduire par un manque d’accès à certains postes ou une impossibilité de progresser professionnellement. Ceci est évidemment sans compter les inégalités salariales. Plus encore, le média culture shift mentionne que les femmes risquent davantage d’être victimes d’agressions verbales, physiques ou sexuelles dans le monde du travail.

Les effets du sexisme dans la sphère privée

Pour étudier les effets du sexisme dans la sphère privée, nous allons faire référence à l’article « father’s and Mother’s Sexism Predict less responsive Parenting Behavior during family interactions » par Nikola C Overall.

Le sexisme et l’autorité patriarcale : quels effets sur la dynamique familiale ?

Dans l’article est mentionné le terme de « hostile sexism » (ou « sexisme hostile). Par définition, le sexisme hostile serait un type de sexisme perpétuant les discriminations et portant atteinte négativement à la femme de manière explicite.

L’étude observe qu’au sein de la famille, le père aura tendance plus que la mère à avoir des attitudes contrôlantes et directives sur son ou ses enfants. Il aura également tendance à limiter le poids des paroles ou de l’opinion de la mère. Ici, l’article fait référence au modèle dit « traditionnel » de la famille. La « famille nucléaire », c’est-à-dire une famille regroupant deux adultes mariés ou non, avec ou sans enfants. Ce modèle type familial est lui-même perpétué par un schéma sexiste.

On notera également que les rôles de la mère et du père quant à l’éducation des enfants ne seront pas les mêmes. Les pères sont chargés des activités « loisirs », tandis que les mères des tâches ménagères, administratives et du socle éducatif. Il y a une incohérence, dès lors, entre l’idéal du père autoritaire et le partage de tâches. 

Le média « divi » a également publié un article avançant les effets négatifs du sexisme dans les relations homme/femme. En faisant des recherches, ils en ont conclu que les comportements sexistes influencent les préférences et influencent les réactions lors de conflits. Dans le contexte d’un couple, la femme se voit également être davantage dépendante de la relation que l’homme.

Les conséquences du sexisme sur les relations sociales : le sexisme internalisé

Le sexisme à l’échelle individuelle peut également avoir des effets négatifs sur les relations sociales des femmes. Un article universitaire intitulé « The Fabric of Internalized Sexism » (ou « la fabrique du sexisme internalisé ») (Steve Bearman) fait référence à cela.

L’article fait part des conséquences du sexisme internalisé. Par définition, le sexisme internalisé est le fait de reproduire des attitudes sexistes (originellement portées par des hommes) en tant que victime. Ce schéma est le résultat de discriminations systématiques et imbriquées dans la société. Ces dernières impactent tant les femmes à l’échelle individuelle que collective.

Cet article se base sur les résultats d’une étude ayant analysé des conversations entre 45 amies pour tenter de détecter les formes que pouvait prendre le sexisme internalisé. Les auteurs mettent en avant 4 catégories : compétition, négation des compétences de l’autre femme, la perception des femmes comme des « objets » et l’invalidation/diminution des capacités de l’autre femme. «

Ce modèle pousse les femmes à se comparer, à entrer en compétition, et dessert au progrès des luttes féministes.

Les résultats de l’enquête ont confirmé l’existence d’une telle forme de sexisme. Ainsi, communiquer sur le sujet est nécessaire pour déconstruire cette dynamique. Cela permet une prise de conscience pour transformer la compétition féminine en sororité.  

Le modèle patriarcal et les hommes comme auteurs du sexisme internalisé

Nous avons parlé du sexisme intériorisé et toxique affectant les relations de femmes à femmes. Cependant ce modèle de sexisme intériorisé ne serait qu’une conséquence du rapport de pouvoir quasi systématique (et systémique) des hommes sur les femmes.

C’est ce qu’un article publié par The Western University “Not like other girls” : implicit and explicit Dimensions of Internalized Sexism and Behavioral Outcomes » a mis en avant.

« In the case of internalized sexism, women continue to enforce the system of sexism even when men have left the room » (Dans le cas du sexisme intériorisé, les femmes continuent de mettre en place un système sexiste même en l’absence d’Hommes).

Bien sûr, ces mécanismes de sexisme intériorisé se mettent en place de manière inconsciente et souvent difficilement notifiable. Les conséquences en sont cependant lourdes, et ont pour effet d’altérer la confiance en soi des femmes concernées.

Adopter un angle intersectionnel et inclusif pour répondre aux violences sexistes ?

Pour répondre à ces stéréotypes sexistes et trouver des solutions sur la durée, une prise de conscience est le premier pas. Cependant, ce n’est pas suffisant.

En effet, de nombreuses ressources féministes conseillent d’adopter un angle intersectionnel et inclusif.

Le site de la Commission ontarienne des droits de la personne a défini l’oppression intersectionnelle de cette manière :

 « une oppression intersectionnelle est issue de la combinaison de diverses oppressions qui, ensemble, produisent quelque chose d’unique et de différent de toute forme de discrimination individuelle — l’approche intersectionnelle tient compte du contexte historique, social et politique, et reconnaît le caractère unique de l’expérience vécue en conséquence de l’intersection de tous les motifs pertinents. Elle permet de reconnaître l’expérience particulière de discrimination due à la confluence des motifs en cause et d’y remédier ».

Adopter une approche intersectionnelle permet de traiter les violences sexistes en s’affranchissant de nos représentations habituelles. L’intersectionnalité permet d’aborder les questions féministes en profondeur. En effet, que ce soit par rapport aux discriminations dans le milieu professionnel, au sein de la famille ou au cœur des relations sociales, une perspective plus inclusive est nécessaire pour trouver des réponses efficaces et durables. Cela implique d’étudier les diverses manifestations du sexisme, changeant en fonction des contextes culturels et historiques.

Conclusion

Ainsi, si le sexisme englobe par définition les discriminations quant au sexe, il n’existe pas de sexisme anti-homme. En effet, les hommes ne sont pas victimes de violences systémiques. Ce sexisme prend des formes variées, que ce soit dans la sphère privée ou publique. Il influence négativement les dynamiques familiales, mais également le monde professionnel. Un autre exemple révélateur mis en avant dans cet article est celui du milieu de la santé.

Dès lors, il faut travailler à lutter contre ces violences et contre les conséquences d’un sexisme latent. Pour ce faire, seule une approche inclusive et intersectionnelle sera efficace dans la durée. En effet, les discriminations sexistes se manifestent dans des formes variées. Les normes culturelles et contextes sociaux ont une influence particulièrement importante dans le vécu des victimes. Ainsi, trouver une seule réponse commune pour lutter contre ces discriminations serait impossible et inefficace sur la durée.

Azélie Maurice

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